segunda-feira, 15 de agosto de 2011

Marcher. Mettre un pas devant l'autre. Longtemps j'ai cru que cela consistait à trouver des réponses. Même si on aime Socrate, on veut des réponses. Une réponse: un pas; une autre réponse: un autre pas.

Puis, j'ai découvert les questions-promenades.
Et Socrate a été généreux à mon égard:
"ti estin ce jardin?"

Maintenant le chemin change,
mais un chemin qui traverse des paysages multiples s'écrit toujours au singulier

Maintenant je n'ai plus de bouche pour crier.
Alors, le silence du crayon contre le papier:
"A quoi appartiens-tu?"




Um comentário:

Anônimo disse...

A qui? A moi, celui qui lit tes ecrits.